Des contraintes de confort

Dans la confection de béquilles, il y a des contraintes à respecter, liées au fait que ces appareils doivent être parfaitement adaptés à la personne qui les porte. Pour être plus concrets, essayons de voir quelles sont les caractéristiques attendues d’une paire de béquilles. Elles doivent avant tout permettre de marcher droit, sans autre aide, tout en gardant l’équilibre. L’autre attente, moins évidente, est de permettre une certaine disponibilité des mains qui doivent pouvoir être libres malgré le port de béquilles.
Par ailleurs, ces articles sont censés soulager les difficultés d’appui, de redressement et de déplacement. Mais ils peuvent avoir de nombreux effets négatifs, dont des douleurs à différentes parties du corps sollicitées par leur utilisation : le dos, les genoux, les hanches, les bras, et les épaules.

Des critères techniques de confection

L’appui sur des béquilles transfère le poids du corps et les contraintes de la locomotion des pieds et du dos vers d’autres parties moins adaptées du corps. Il s’agit par conséquent d’assurer une collaboration efficace entre le médecin et le mécanicien dans leur conception.
Pour la confection, l’ajustement de la taille de l’appareil, le choix des matières et le confort dépendent du mécanicien : il lui faut chercher une certaine souplesse, un amortissement des chocs et une légèreté. Le médecin, de son côté, intervient dans la détermination des critères de port : l’ancrage, le point d’appui, la fixation, la validation des matières qui ne doivent surtout pas être allergènes.
Bien réalisées, des béquilles permettent à des unijambistes de jouer au football.

Pourquoi se mutiler ?

Il est quasiment impossible de définir la ou les catégories de personnes qui se mutilent. Le profil des automutilateurs est très difficile à cerner. En fait, les personnes qui se font du mal ont des souffrances vraiment profondes qu’elles n’arrivent pas à exprimer verbalement. Ou bien, on ne leur permet pas de communiquer librement, on ne les encourage pas à épancher leurs coeurs. Parfois, elles ne trouvent pas le bon interlocuteur ou la personne qui sait les écouter.

Pour se soulager, elles se font du mal physiquement et ainsi oublier temporairement leur peine. Ces individus sont submergés, soit par les conflits familiaux, les problèmes d’argent, le travail ou par d’autres tracas. S’automutiler est aussi un moyen pour certains de déstresser. Peut-être ont-ils eu des traumatismes dans leur enfance, qu’ils font de la dépression ou bien qu’ils sont atteints d’un trouble obsessionnel compulsif.

Comment arrêter ?

Un journal canadien a dit que l’automutilation risque de devenir la dépendance la plus forte que la médecine aurait connue. Comment cesser de vous faire mal? Essayez de mettre le doigt sur ce qui vous pousse à le faire.

Puis, trouvez quelqu’un de confiance et compatissant à qui parler, vous vous sentirez vraiment mieux ou couchez par écrit tout ce que vous avez sur le coeur. N’hésitez surtout pas à faire appel à un spécialiste pour vous aider à vous affranchir de cette pratique destructrice et douloureuse.

A quoi sert un tensiomètre ?

Avant toute chose, il convient de voir de près à quoi sert cet appareil. Il sert à mesurer la tension artérielle d’un individu. Il est doté de brassard gonflable, de manomètre équipé d’une aiguille (si modèle manuel). Il existe plusieurs modèles de tensiomètre comme il peut être manuel, électronique ou encore connecté. Il peut fonctionner avec une pile ou une batterie comme il peut être à poignet ou bien à bras. L’utilisation de cet appareil est possible pour les particuliers en dehors du personnel médical. Cela facilite le contrôle de la tension artérielle, surtout chez les patients à risque. En effet, en disposant d’un tensiomètre à domicile, il peut procéder à l’automesure plus facilement. De plus, les tensiomètres sont faciles à manipuler. D’ailleurs, ce type de gadget est reconnu au niveau international par les professionnels dans le domaine de la santé. Néanmoins, il convient de bien choisir votre tensiomètre car certains modèles sont plus pratiques que d’autres.

Le tensiomètre manuel

Le tensiomètre manuel est le modèle équipé d’un brassard gonflable, un manomètre et une poire. La poire consiste à faire monter la pression au niveau du manchon. Le manomètre indique une valeur : la pression artérielle maximale du patient. Ce modèle est réservé à l’usage des professionnels de la santé. Il doit être utilisé avec un stéthoscope, cet appareil qui indique la reprise des battements du cœur au niveau de l’artère du bras. Deux principaux types de tensiomètre manuel existent :
• Tensiomètre manobrassard
• Tensiomètre manopoire
Ces deux appareils se distinguent par le positionnement du cadran : sur le brassard pour le modèle manobrassard et sur la poire pour le manopoire. La précision est la même pour les deux tensiomètres manuels, la seule différence réside au niveau du confort d’utilisation : le manopoire serait plus pratique.

Le tensiomètre automatique ou électronique

Le tensiomètre automatique ou électronique est un modèle réservé plutôt aux particuliers qui souhaitent surveiller leur tension artérielle. Néanmoins, beaucoup de médecins le privilégient pendant l’auscultation. Le tensiomètre automatique se base sur une méthode appelée méthode d’oscillation. Tout le système est automatisé et la précision est exceptionnelle. De plus, le risque de faire une mauvaise manipulation est petit. Voilà pourquoi cet appareil est vivement recommandé pour l’automesure. En effet, le patient n’aura pas besoin de personnel de santé pour prendre sa tension artérielle régulièrement. On distingue deux grands types de tensiomètre électronique :
• Tensiomètre au bras
• Tensiomètre au poignet

Des conseils pour soigner une grippe chez l’enfant

Comme pour les adultes, le premier réflexe des parents face à un enfant qui a la grippe, c’est de le contraindre au repos. Il faut aussi penser à le faire boire souvent même s’il n’éprouve pas le besoin de boire. La déshydratation pourrait sérieusement compliquer une grippe, donc, il faut veiller à ce que l’enfant boive régulièrement. En principe, le médecin prescrira un antipyrétique à votre enfant pour faire baisser la fièvre, peut-être un paracétamol. Mais s’il s’agit d’un nourrisson de moins de 6 mois, le médecin préférera probablement hospitaliser l’enfant pour un meilleur suivi.

Des précautions à connaître et à prendre

Si l’enfant a la varicelle alors qu’il est grippé, l’ibuprofène ou le kétoprofène sont à bannir car ces anti-inflammatoires non stéroïdiens risquent d’aggraver la varicelle. Ces anti-inflammatoires sont également à bannir au cas où l’enfant est déshydraté, peut-être parce qu’il vomit beaucoup ou parce qu’il fait de la diarrhée. Dans tous les cas, même si un médecin juge qu’il est utile que l’enfant prenne des AINS, leur prise doit être pendant une courte période et à petites doses uniquement. L’enfant n’a pas à prendre des antibiotiques qui ne sont nécessaires qu’en cas de surinfection bactérienne.

Les éventuelles causes de l’hypotension artérielle

Une hypotension artérielle peut venir de différentes origines. Le simple fait de se lever du lit trop rapidement peut faire baisser la pression du sang dans le cerveau. Chez certaines personnes, la valeur systolique peut chuter significativement après un repas consistant. Le flux se concentre dans les organes digestifs. Des causes plus courantes comme la déshydratation entraînent ce trouble. Une qualité de plasma amoindrie occasionne inexorablement une tension insuffisante. Ceux qui font du sport sans compenser l’eau perdue par la transpiration vont aussi éprouver ce même désagrément. Les hémorragies et certains médicaments tels que les anxiolytiques ont tendance à contenir le niveau systolique. Parfois, le souci découle d’une maladie sous-jacente comme une pathologie cardiaque ou bien le diabète. Quelle qu’en soit la cause, les symptômes sont les mêmes. La personne a le vertige et entend des bourdonnements sur une oreille. Le trouble de la vision ainsi que la confusion précèdent la perte de conscience.

Opter pour les médecines douces

De manière générale, le médecin ne prescrit pas de médicaments pour l’hypotension artérielle, surtout s’il n’y a pas de maladie sous-jacente. Quelques conseils portant essentiellement sur l’hygiène de vie sont souvent suffisants pour faire monter la pression. Si le niveau systolique a du mal à augmenter, le recours aux remèdes alternatifs à l’allopathie peut être envisagé. Il faudra notamment essayer la phytothérapie. Les plantes telles que le ginseng ou le guarana permettent de retrouver la forme. De plus, ces remontants sont proposés sous forme de gélules prêtes à être avalées. Les infusions de romarin et les jus naturels énergisants devraient aussi aider. Ces solutions biologiques sont contre-indiquées pour les diabétiques, les femmes enceintes ainsi que les patients allergiques aux arômes. Quelques huiles essentielles ont aussi montré leur efficacité contre l’hypotension.

Adopter de bonnes attitudes pour garder une tension normale

Comme vous pouvez le voir sur http://hypotension-solution.fr, les solutions pour traiter l’hypotension sont nombreuses. Et comme le disait si bien un savant antique, les meilleurs médicaments se trouvent déjà dans l’assiette. Un peu plus de sel que d’ordinaire suffit à faire remonter la tension artérielle. Il faut également de la viande mi-cuite au menu. Les fruits et légumes frais vont aussi donner un coup de punch à la circulation sanguine. Puis, il faut veiller à toujours bien s’hydrater. Cette recommandation est très importante pour ceux qui aiment faire du sport. Il est conseillé de ne jamais s’entraîner à jeun. Que la personne soit athlétique ou pas, il lui faut privilégier les sucres lents tels que les glucides. Ils ont plus de vertus que les sodas. Quoi qu’il en soit, la pratique d’exercice physique modérée rétablit la pression artérielle. S’il faut rester dans une position assise trop longtemps, le port de collants de contention devrait réguler le flux. Le sang a tendance à se concentrer dans les jambes.

L’équipement thérapeutique

L’équipement thérapeutique, comme son nom l’indique, est destiné à guérir le patient ou à l’aider dans sa guérison. Parmi le matériel thérapeutique, il y a les pompes à perfusion. Lorsque le patient présente un problème du système circulatoire ou lorsqu’il ne peut plus avaler ses médicaments ou ses aliments, on envoie tout par voie intraveineuse. Les médicaments et les aliments sont alors injectés sous forme de liquide dans le corps du patient. Il existe deux types de pompe à perfusion : la pompe à petits volumes et la pompe à grands volumes. La première est en général utilisée pour injecter des médicaments comme l’insuline. La seconde est destinée pour injecter une solution plus volumineuse comme les aliments.

L’équipement de diagnostic

Le diagnostic d’une malade commence toujours par une série de questions. Parfois, cela ne suffit pas et le médecin a besoin de palper le corps du patient, d’utiliser un stéthoscope pour écouter les poumons ou le coeur du patient, etc. Quand la maladie est complexe et ne se situe pas sur une partie palpable (extérieure), il faut recourir à l’imagerie médicale. Cette technique consiste à obtenir une image du corps humain sur une partie précise. Plusieurs branches de la médecine utilisent cette technique, dont la photographie médicale, la microscopie, l’endoscopie, la thermographie et la radiologie. L’IRM et l’échographie sont deux exemples concrets de l’imagerie médicale. A noter qu’aujourd’hui, les appareils comme le stéthoscope, le thermomètre, le tensiomètre peuvent facilement s’obtenir en ligne, notamment sur Medicaffaires, une boutique spécialisée dans la vente de matériel médical.

L’équipement de réanimation cardio-respiratoire

La réanimation est une technique utilisée sur une personne victime d’un arrêt du cœur. Plusieurs équipements sont utilisés par les médecins pour réanimer une personne qui ne respire plus. D’abord, il y a le défibrillateur qui sert à faire fonctionner normalement et à nouveau, un cœur en fibrillation. On parle de cœur en état de fibrillation lorsqu’on ne sent plus le pouls d’une personne. Au contraire, lorsque son cœur bat de façon rapide et désordonnée, on parle donc de tachycardie. Il y a plusieurs types de défibrillateurs, dont le DSA ou défibrillateur semi-automatique et le DEA ou défibrillateur entièrement automatique. Ces appareils sont très faciles à utiliser et sont très utiles surtout en secourisme. Tout le monde peut s’en servir en cas d’urgence. Puis, on a le stimulateur cardiaque qui fonctionne presque de la même façon que le défibrillateur. L’appareil est implanté à l’intérieur de la poitrine et ses électrodes sont en contact avec le cœur. Ils transmettent du courant pour régulariser la fréquence cardiaque.

L’équipement de soutien de la vie

Quand une personne est gravement malade ou grièvement blessée, les médecins utilisent de nombreux appareils et techniques pour la maintenir en vie. Parmi ces équipements, figure la ventilation mécanique permettant au patient de continuer à respirer. Appelé également respirateur, cet outil peut être utilisé en cas d’urgence lors d’une opération chirurgicale ou d’une maladie grave et en permanence quand un patient a besoin d’une assistance ventilatoire à long terme.
Quand le patient ne peut plus avaler, on utilise dans ce cas des sondes d’alimentation. Pour de nombreuses causes, un malade peut perdre la capacité d’avaler quoi que ce soit. On utilise dans ce cas des sondes d’alimentation sous forme de tube. L’alimentation par tube s’appelle gavage. Ce type de soutien peut être temporaire ou à vie en fonction de la maladie du patient. Il existe plusieurs types de tubes employés en médecine. On les choisit en fonction du niveau d’incapacité du patient à avaler et au type de nutriments qu’on lui injecte.
Toujours dans l’équipement de soutien de la vie, il existe un matériel qui sert à remplacer la fonction cardiaque et respiratoire d’une personne de façon ponctuelle. Il s’agit d’un matériel de circulation extra-temporelle ou CEC. Après, il y a la pompe ou DGPC qui remplace de manière temporaire la fonction du cœur. Il est utilisé, en général, par les perfusionnistes, lors d’une intervention chirurgicale cardiaque.

Les ronflements sont de véritables troubles du sommeil

Concrètement, ce sont surtout les plus de 40 ans qui souffrent de ronflements excessifs. Passé la quarantaine, le bruit grimpe à un niveau supérieur puisque la personne peut produire un son de plus de 100 décibels. C’est l’équivalent du vacarme fait par un TGV roulant à sa vitesse de croisière à une vingtaine de mètres. La ronchopathie est caractérisée par le bruit respiratoire émis par les dormeurs qui en souffrent. Le souci vient d’une obstruction partielle au niveau des voies aériennes supérieures. Le problème peut notamment venir du pharynx, du larynx ou bien de la fosse nasale. Dans tous les cas, c’est dû à une vibration occasionnée par le passage de l’air à un endroit serré. Le son compris entre 50 et 100 décibels ne dure qu’environ 40% de la nuit. Certaines positions du dormeur peuvent amplifier l’obstruction. Si la personne se couche sur le dos, la langue se tasse par pesanteur. Ce qui obstrue davantage le fond de la gorge. Le ronflement se décline en plusieurs niveaux de sévérité. Dans certains cas, il s’agit de la manifestation de l’apnée du sommeil. La personne peut aussi se plaindre de maux de gorge, de céphalée ou d’hypertension. Seuls les examens dans une clinique spécialisée permettent de diagnostiquer une ronchopathie pathologique. Le patient doit ainsi dormir en institut. Pendant une nuit d’observation, des appareils tels que la machine pour la polysomnographie peuvent mesurer les paramètres. Quoi qu’il en soit, seuls les médecins peuvent déterminer si le trouble est grave ou non.

Les différentes sortes de ronflements

Il sera question de ronflements simples si le bruit reste en dessous de 50 décibels. Cela a peut-être la même puissance sonore que l’aspirateur, mais il n’y a aucun risque à craindre par rapport à la santé. Les spécialistes du sommeil indiquent que pour que le ronflement soit considéré comme pathologique, le bruit doit être au-delà de 50 décibels. Il faut quand même rester vigilant et voir si le phénomène, classifié de modéré, tend à s’aggraver. L’entourage doit notamment remarquer si la durée du ronflement s’allonge au fil du temps. Pour rappel, le bruit ne devrait pas durer plus du quart de la nuit, soit 2 heures tout au plus.
Si les ronfleurs émettent un son respiratoire en permanence, ils souffrent donc de ronchopathie chronique. C’est dans cette troisième catégorie que le risque d’apnée du sommeil reste le plus élevé. La personne peut faire des arrêts involontaires de la respiration pendant la nuit. C’est la complication de l’obstruction des voies aériennes supérieures. Pour en être certain, le médecin posera des questions sur l’état de santé du dormeur. A noter que le diagnostic peut se faire chez le médecin traitant habituel. Si l’apnée du sommeil est confirmée, il faudra suivre un traitement contre l’apnée à plus forte raison si le patient souffre parallèlement d’hypertension et de somnolence aggravée. Pour rappel, l’apnée du sommeil peut occasionner divers troubles notamment les problèmes cardiovasculaires ou la dépression. Cette complication des ronflements peut venir de nombreuses causes dont l’obésité. La consommation d’alcool et une mauvaise hygiène de vie en général peuvent aussi occasionner cette pathologie dont les effets sur le long terme peuvent être fatals.

Des astuces pour ne plus ronfler la nuit

Quelques astuces, disponibles sur  https://www.sommeilderoi.com/ronflements/ peuvent être essayées pour réduire ou résoudre le ronflement. Cela commence par une bonne hygiène de vie. Il faudra notamment garder un poids de santé. Car l’accumulation de graisse au niveau des voies aériennes supérieures peut causer l’obstruction. Faire du sport et manger sainement devraient aussi aider.
Certaines substances telles que l’alcool sont déconseillées. Elles ont pour effet de ramollir les muscles. Ces derniers ne laissent plus l’air passer librement lorsqu’ils s’affaissent. Outre les boissons alcooliques, les somnifères causent aussi le même effet secondaire. C’est également le cas pour certains médicaments, dont les antihistaminiques. Ensuite, le tabac constitue un autre facteur de risque. Les fumeurs ronflent beaucoup plus puisque leurs muqueuses sont agressées par la fumée. Leur irritation fait naître des bruits qui partent du sifflement et finissent en grondements. Les produits pour résoudre les problèmes d’allergie peuvent aussi favoriser le ronflement.
Pour ne pas ronfler, le dormeur devrait prendre de bonnes habitudes. Il doit prendre l’habitude de se coucher sur le côté ou sur le ventre. Ces positions dégagent les conduites aériennes. Certaines marques de vêtements proposent des t-shirts qui empêchent le dormeur de se coucher sur le dos.
L’utilisation d’un vaporisateur nasal décongestionnant peut aider. C’est un spray à inhaler juste avant de s’endormir le soir. Cette solution libère la fosse nasale.

Les solutions possibles pour résoudre le problème du ronflement

Si vous avez déjà perdu du poids et dormez sur le côté, mais que le ronflement persiste, le mieux est de consulter un médecin spécialiste. Si le patient présente une langue volumineuse, le médecin peut lui demander d’essayer les orthèses d’avancée mandibulaire.
En cas de rhinite allergique persistante occasionnant des ronflements gênants, le mieux est d’aller vers un spécialiste ORL. Ce dernier prescrira des solutions médicamenteuses pour décongestionner les cloisons nasales. Il peut aussi orienter le patient vers un institut spécialisé en sommeil. Ce dernier sera habilité à déterminer si le patient souffre effectivement d’apnée du sommeil. Dans tous les cas, il passera une nuit d’observation en institut. L’équipe médicale saura si cette personne a des difficultés à entrer dans un sommeil profond, la partie la plus réparatrice de la nuit. Autrement, elle se réveillera un peu plus fatiguée tous les matins.
Dans le cas où le diagnostic du patient révèle qu’il est atteint d’apnée du sommeil, le traitement, les spécialistes peuvent lui recommander de dormir avec un masque. Ce dernier envoie un flux d’air continu et permet ainsi de dégager les voies respiratoires. La machine apportera son bienfait immédiatement. En quelques semaines, la personne apprendra par réflexe à respirer sans ronfler. En dernier recours, il y a la chirurgie. Cette solution radicale consiste à enlever une partie du palais. Les chirurgiens peuvent aussi faire une ablation de glandes ou des ganglions.

Plusieurs variétés de thermomètres

Les modèles et types de thermomètres médicaux sont nombreux sur les marchés actuellement, et avec le progrès de la technologie et de la science, on remarque un certain développement dans la conception et les fonctionnalités de certains modèles. Électronique, à gallium ou encore à infrarouge, il y en a pour tous les goûts. Depuis peu, le thermomètre disposant d’un système sans contact est devenu la tendance du moment grâce à sa fonctionnalité innovante de pouvoir effectuer une prise de température sans pour autant toucher le patient. Il y a également le modèle frontal, pour ceux qui aiment la simplicité et préfèrent garder les bonnes vieilles habitudes de la prise de température sur le front. Selon les préférences et les besoins de chacun, des modèles toujours plus variés sont présents sur les marchés.

Critères à vérifier avant l’achat d’un thermomètre médical

Avant tout achat d’équipement médical, y compris le thermomètre, il faut au préalable demander conseil à un professionnel sur les modèles adaptés. Plusieurs critères sont également pris en compte pour l’évaluation d’un bon thermomètre efficace. Parmi ceux-là, il y a dans un premier temps la fiabilité du thermomètre. Il est primordial de faire quelques essais avant l’achat pour vérifier si l’appareil fonctionne correctement et si les diagnostics donnés par celui-ci sont plausibles. Le deuxième critère à prendre en compte c’est bien évidemment sa facilité d’utilisation. Vous devez donc vous interroger si le thermomètre est simple à utiliser ou s’il requiert des connaissances particulières. Enfin, vous pouvez vous pencher sur le prix du matériel pour voir si son coût vaut sa qualité. Une fois toutes ces conditions étudiées, vous pourrez choisir le thermomètre idéal et adapté à vos besoins.

Qui peuvent bénéficier de ces équipements médicaux ?

Généralement, toute personne concernée par l’hospitalisation à domicile peut jouir du matériel adéquat pour son processus de traitement. Toutefois, cela va surtout dépendre de l’état et des besoins du patient. Les premiers concernés sont les personnes ayant besoin d’assistance et qui ne peuvent vivre en toute autonomie. Il s’agit des personnes âgées, des handicapés ou encore des personnes présentant une défaillance psychologique. Ces derniers ne peuvent en aucun cas être autonomes et ont un besoin constant d’aide extérieure. Afin de leur permettre de vivre indépendamment des autres, des appareils pouvant les accompagner dans leur vie de tous les jours leur sont fournis. Ce sont ce que l’on appelle les équipements de maintien à domicile.

Les types d’équipement médical dans le cadre d’une HAD

Pour accompagner le patient dans la procédure d’hospitalisation à domicile ou HAD, il peut lui être délivré différentes sortes d’équipements médicaux. Ces derniers ont pour vocation de faciliter les tâches habituelles quotidiennes du patient, par exemple pour monter dans un lit ou faire la toilette, et pour lui permettre de se sentir mieux, ainsi que de gérer ses éventuelles crises. Dans le premier cas, il peut d’agir de meubles ou appareils spécialement aménagés comme le lit médicalisé, le fauteuil roulant, le déambulateur, la planche de bains ou encore l’élévateur de toilettes. En ce qui concerne le deuxième cas, on peut trouver un broncho-aspirateur, une pompe à perfusions, une seringue électrique ou même un appareil de mesure de glycémie.

Les types de DAE

Il existe deux types de défibrillateur automatisé externe : le défibrillateur semi-automatique (DSA) et le défibrillateur entièrement automatique (DEA). Le type automatique permet une utilisation simple et rapide car il ne nécessite aucune intervention de l’utilisateur. L’appareil va dans un premier temps analyser l’activité cardiaque du patient, et dès qu’il détectera une activité anormale susceptible d’être la cause de l’arrêt cardiaque, il va s’enclencher automatiquement et délivrera des chocs électriques pour relancer le cœur. L’utilisation du DSA nécessite par contre la participation d’une personne. Pour l’enclencher, il faut appuyer sur un bouton spécial. Une fois mise en marche, l’appareil va faire son boulot.

Mode d’utilisation d’un défibrillateur

Le DAE a été conçu de telle sorte que tout individu puisse l’utiliser sans problèmes en cas d’urgences ou d’arrêt cardiaques dans un lieu public. Sa facilité d’utilisation est sans égal et n’importe qui pourrait comprendre son fonctionnement. Lorsqu’une personne tombe dans les pommes et qu’on est sûr qu’il s’agit d’un arrêt cardiaque, le premier réflexe à prendre est bien évidemment d’appeler les secours, mais en attendant, on peut commencer par utiliser un défibrillateur automatisé externe. Pour ce faire, il suffit d’ouvrir l’appareil et écouter les instructions vocales, s’il y en a. Une fois prêt, on peut poser les deux électrodes sur le corps de la victime, qui doivent généralement se placer sous la clavicule et au niveau de la poitrine gauche. Un câble doit alors être connecté. Ensuite, l’appareil devrait indiquer qu’il est en cours d’analyse du rythme cardiaque. Selon le type d’appareil utilisé (DEA ou DSA), la machine va donner un choix à l’utilisateur : choquer ou non.